La technologie du BIOPHOTON
Sa théorie conceptuelle repose sur le fait que l’eau, dans la nature baigne dans un champ magnétique :
Le vortex,
La liberté de mouvement de l'eau
Le vitaliseur Biophoton
la science de l'électroculture émerge...
Il s’agit d’un procédé qui a pour but de faire intervenir le paramètre trop souvent oublié, la dimension éléctromagnétique de l’eau. Chaque molécule de l’eau est constituée d’une polarité (comme un aimant + et -). La circulation naturelle de l’eau l’amène à faire serpenter un tuyau de jardin, libre de son mouvement. En conséquence, l’eau qui circule dans des canalisations linéaires est une action contraire à son flux naturel. Comme les molécules d’eau sont très sensibles aux changements, sa conception fait de lui un procédé qui réduit les effets colmatants et incrustants du calcaire.
Un anneau spécial paramagnétique permettra à l'eau d'être dans un champ d'énergie unifié. Ce procédé donne des conditions d’un champ magnétique, proche de la nature, milieu dans lequel, l’eau évolue...et qui a sans aucun doute de bonne raison d’être…
De l’or 24 carats.
Pour les puristes, les spécialistes en physique quantique et géobiologie, la présence de l’or se justifie notamment par la pertinence des travaux du Docteur Peyré , exposés au Congrès international de la Presse Scientifique, au sujet d’un type de radiations naturelles appelées « cosmotelluriques» en lien avec le fameux « réseau or ou Peyré ».
Le sujet est complexe car si la physique quantique est admise aujourd’hui alors que beaucoup de phénomènes sont inexplicables, la géobiologie a encore du chemin à parcourir pour elle aussi être totalement reconnue.* A titre d’exemple depuis 2008 Franck Rajjou a commencé des recherches sur les biophotons et la lumière dans le vide, qui enfin est une réalité bien admise pratiquement depuis 2011.
Vortex, une turbine d’Archimède basée sur le principe de nombre d’or 1,618.
Un cristal avec une attention particulière au niveau prismatique .
Gardons espoir que des outils de la science officielle permettront de révéler des choses encore "invisibles" à ce jour.
L’eau passe à travers une turbine d’Archimède basée sur le principe de nombre d’or 1,618, pour ensuite être en contact avec un cristal de quartz avec une attention particulière au niveau prismatique . Une judicieuse combinaison d’élements magnétiques et paramagnétiques vient enrober l’extérieur du cylindre central. Et tout cela en interaction avec deux demi-anneaux d’or 24 carats. L’objectif étant de produire un champ d’énergie unifié suivant les expériences notamment en élèctroculture.